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🏋️‍♂️ Le surentraînement : l'équilibre de vie délicat à trouver ! 🧠

Dernière mise à jour : 9 août 2023

🔍 Le surentraînement ne se résume pas seulement à une charge d'entraînement excessive.


C'est un équilibre complexe où la nutrition, les émotions, le sommeil, et bien d'autres aspects de la vie jouent un rôle crucial.


1️⃣ L'Équilibre de vie :

Le surentraînement ne peut être appréhendé uniquement par la maîtrise du plan d'entraînement. C'est un équilibre délicat à trouver entre les séances intenses, la récupération adéquate, la nutrition équilibrée, et la gestion du stress.


2️⃣ Les facteurs incontrôlables :

Alors que le plan d'entraînement peut être ajusté, les autres aspects de la vie peuvent s'avérer plus difficiles à maîtriser. Les émotions, les responsabilités professionnelles, les relations sociales, et autres peuvent influencer notre état de surentraînement.


3️⃣ Trouver la juste mesure :

L'athlète doit prendre conscience que l'équilibre de vie est essentiel pour éviter le surentraînement. Prendre le temps de se reposer, de bien manger, de gérer le stress, et de se focaliser sur le bien-être global est tout aussi important que les séances d'entraînement elles-mêmes.


4️⃣ L'écueil du surentraînement :

En négligeant les autres aspects de la vie, même le meilleur plan d'entraînement peut devenir inefficace et conduire à un état de surentraînement préjudiciable à la performance et à la santé. C'est pourquoi certains experts préfèrent désormais utiliser le terme "syndrome de déconditionnement paradoxal" pour décrire cette complexité.


👉 C'est la raison pour laquelle un plan d'entraînement ne doit pas être conçu pour atteindre un objectif, mais pour s'améliorer en connaissance de son niveau et état présent (ce que peut faire toute la différence dans les actions mises en place).


Déclencheurs, physiopathologie et conséquences :

Déclencheurs, physiopathologie et conséquences du surentrainement
Déclencheurs, physiopathologie et conséquences du surentrainement

Biomarqueurs généralement altérés :

  • Réponses réduites de l’hormone de croissance, du cortisol et de la prolactine à un test de stimulation centrale, pouvant expliquer la perte de performance.

  • Niveaux réduits de testostérone, pouvant entraîner une perte de masse musculaire.

  • Augmentation des niveaux d’œstradiol sans augmentation concomitante de la testostérone, liée à des schémas psychologiques et métaboliques anormaux.

  • Mauvais états d’humeur, probablement liés à un sommeil de mauvaise qualité et à des dysfonctionnements hormonaux.

  • Changements dans le métabolisme et la composition corporelle, incluant un taux métabolique plus bas, plus de graisse corporelle, moins de masse musculaire et moins d’hydratation.

  • Marqueurs qui semblent spécifiques tels que les réponses de l’ACTH à la stimulation, la libido, l’œstradiol et la norépinéphrine.

Biomarqueurs généralement altérés en surentrainement
Biomarqueurs généralement altérés en surentrainement


Modèle prédictif pour l’identification du syndrome de surentraînement (OTS) :




Référence :

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